mardi 22 octobre 2013

Les dangers de la nourriture industrielle




                L'association Veille au grain-Bourgogne, le collectif 21 ″Action citoyenne pour une Côte d’Or sans OGM ni pesticides" et l'association Quetigny-Environnement vous invitent à la conférence intitulée

"Les polluants chimiques et les OGM dans l'alimentation :
les effets sur la santé et la détoxification, l'intérêt du bio"

par le Docteur Joël Spriroux de Vendômois, président du CRIIGEN (Comité de Recherche et d’Information Indépendantes sur le génie Génétique). Elle aura lieu: 

 salle Mendès France à Quetigny, mercredi 13 novembre 2013  à 20 h.

                 Le scandale de la nourriture industrielle, voilà un sujet prioritaire absent des discours de nos élus censés nous représenter. La nourriture industrielle est toxique à long terme pour notre organisme et les pouvoirs publics  ne font rien pour améliorer la qualité des aliments. L’agro-alimentaire a tout pouvoir et, au détriment de la santé de la population, elle s’intéresse avant tout à ses bénéfices.

Un changement alimentaire radical s'est produit avec l'alimentation industrielle. Tous les produits ont subit un traitement chimique ou sont irradiés. On trouve de plus en plus dans l’alimentaire des nanomatériaux, des additifs neurotoxiques, des  exhausteurs de goût. Si nos centenaires ont vécu dans un environnement  sain, ont mangé bio sans le savoir, la malbouffe fait craindre une dégradation importante de la santé pour les jeunes générations nourries trop souvent de ces "plats tout préparés" avec trop de sel, trop de sucre, mais aussi des acides gras et divers "améliorants"… Aux nombreux additifs, du type colorant, conservateurs, exhausteurs de goût, gélifiant s’ajoutent, dans  ces préparations, des "nanoparticules" pour donner un moelleux plus durable aux gâteaux, des microcapsules de dyoxide de titane, de sillicates d'aluminium pour empêcher l'agglutination des aliments en poudre. D’autres problèmes de santé proviennent des emballages alimentaires (Bisphénol A, phtalates dans les plastiques) ou de l'environnement (PCB, mercure dans les rivières polluées  aussi par les effluents  des élevages industriels, contenants des antibiotiques, des hormones de croissances et  des perturbateurs endocriniens).  Viennent en plus les problèmes d’interactions entre les différents pesticides et autres fongicides qui s’accumulent dans les aliments dont l’impact négatif sur la santé, à force de les cumuler, n’est plus à démontrer. Depuis 50 ans nous assistons à une augmentation impressionnante de pathologies lourdes et insidieuses : maladies immunitaires, malformations néonatale, fertilité en baisse et stérilité, maladies vasculaires, maladies neuro dégénératives,  explosion des cancers, obésité et hyperactivité chez les enfants …
  Les risques toxicologiques sont cachés par les industriels. Aucune réglementation n'existe sur ces nouveaux composants de notre alimentation dont personne ne connait les effets. L’opacité demeure sur les tests toxicologiques et les instances d’accréditation persistent dans leur laxisme.
La récente publication du Professeur Séralini sur le maïs OGM NK 603 et le Roundup dont le Docteur Joël Spriroux de Vendômois est l'un des coauteurs en est un exemple emblématique.

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